classe de claude gambette - ETAIN - 55400

jeudi, décembre 21, 2006

Exploitation d'un texte des HISTOIRES PRESSES de Bernard Friot.

Introduction : Bernard Friot
Deuxième partie : les CM1/CM2 d'Etain (55400)
Dernière partie : les CM2 d'Anne Françoise Caré, d'Ecole-Valentin (25480)

Nous avons été invités par l'ancien maître de notre école à écrire la suite d'un conte et voici nos meilleures productions élues par la classe :

(dernière partie) ... Ils se rencontrèrent et l’orpheline accepta d’ aller vivre chez le roi et la reine. Quand la petite fille arriva, elle se mit tout de suite, à détester le cuisinier, car il avait une verrue sur le nez, et il cuisinait mal. Comme le roi et la reine adoraient leur fille, ils le licencièrent. Le cuisinier voulut alors se venger de la fillette. Pendant la nuit, quand tout le monde dormait au château, le cuisinier alla voler de très beaux bijoux qui appartenaient à la reine et au roi. Il alla les placer sous le lit de Ginette, la fillette. Quand les parents de Ginette s’ aperçurent que les bijoux étaient volés, ils allèrent porter plainte. Plus tard ils crurent que c’était Ginette qui avait volé les bijoux, alors elle partit en prison et y resta durant dix ans.
Emilie



L’heure du rendez-vous approchait. Voyant les visages inquiets, je ne pouvais m’empêcher de garder le sourire jusqu'au bout. La reine fut surprise de la beauté de la jeune fille. Elle dit aussitôt :
« Ma chère, moi je vous adopte, je ne peux que dire ça , vous avez du charme.
-Bien merci. Répondit la jeune fille. »
Tous rentrèrent au château. La vie entre ces trois-la fut merveilleuse.
Mais deux mois plus tard, le roi et la reine eurent un enfant nommé Juliette. Sophie (la jeune fille) devint jalouse car depuis cet évènement on ne pensait plus qu’au bébé. Alors Sophie partit du château.
Ses parents, inquiets, firent des recherches. En fin de journée , ils la retrouvèrent. Encore treize mois plus tard la même histoire se reproduisit, pour une histoire de spaghettis ! Juliette partit de la maison en disant : « C’est pas juste, elle en a plus que moi ! »
On ne la revit que deux ans plus tard dans une ferme.
Sans jamais lui pardonner la tristesse qu’elle leur avait fait subir…
Pauline




Le rendez-vous arriva et voilà ce qui ce passa : le roi est là reine étaitent déjà là quand l'orpheline accourut.
« Bonjour, dit le roi,Je suis le roi de Marchauque bour
Et moi, je suis orpheline, et je m'appelle Lucie Ole. »
Le roi se dit qu'elle n'était pas polie et fit une croix sur le tableau qu'il avait confectionné. Il servait à voir si elle pouvait entrer dans sa famille. Au bout de deux croix, elle n'en ferait pas partie.
« Bon alors comme çà vous êtes orpheline,
Ben ouais !
Il mit tout de suite une croix sur son tableau.
« Veux-tu vraiment vivre avec nous ? Demanda la reine.
Evidemment, pourquoi ?
Je te demandais juste. »
Il y eut un moment de silence, puis le roi et la reine discutèrent pendant quelques minutes et annonçèrent :
« Nous avons décidé que tu ne pourrais pas venir avec nous au « Palais des cuisses en chamallow rose », nous sommmes désolés tu n'as pas assez de tenue; tu ne te portes pas assez bien si tu préfères, annonça la reine.
Bon d'accord, c'est pas grave. Au revoir monsieur Lucki Marchauquebour, au revoir Lisette Marchauquebour. Dit la filllette.
Au revoir Lucie Ole. Dirent-il en coeur. »
Ils repartirent chacun chez eux, vécurent malheureux et n'eurent pas d'enfant ni de foyer !
Camille



J'attendais avec impatience que l'orpheline et, peut-être, ses futurs parents se rencontrent. Enfin, ce jour arriva. J'attendais avec la reine et le roi que la jeune fille arrive. L'enfant arriva ; la mère se leva d'un bond pour voir à quoi ressemblait l'orpheline :
« Assieds-toi, mon enfant je suis si heureuse de te recevoir !
- Bonjour. Dit simplement la fillette. »
Le père demeura muet,
La reine et l'enfant restèrent longtemps à discuter.
Enfin la mère lui demanda : « Chère enfant, voudrait-tu être ma fille, si, bien sûr, mon cher mari est d 'accord,
- Oui, dirent en même temps le père et l'orpheline. »
Donc, ils adoptèrent la jeune fille. La mère partait souvent en voyage seule. Un jour, dans la nuit, la jeune fille entendit crier. Les cris venaient de la chambre de ses parents. Elle cala son oreille contre la porte et écouta.
« Oui, tu as bien compris, ma chère femme, Je voulais un garçon, un garçon !
- De toute façon moi, je l'aime bien alors je la garde. Bonne nuit.
- J'arriverai à m'en débarrasser. »
La jeune fille, qui s'appelait Marie, eut très peur. Elle s'enferma dans sa chambre et pleura jusqu'au lendemain. Le père essaya de s'en débarrasser à plusieurs reprises. Et, un jour, elle décida de s'enfuir. La nuit suivante, c'est ce qu'elle fit. Sa mère fit coller des affiches partout :
« Celui qui retrouvera ma fille recevra une grosse somme d'argent. »
Trente jours plus tard, la jeune fille était au château; elle expliqua à sa mère que son père essayait de se débarrasser d'elle, alors, elles prirent une décision. Elles partirent dans un autre pays et on ne les retrouva jamais.

Laure


Que pensez-vous de nos suites ?

1 Comments:

Blogger claude gambette said...

Vos quatre propositions sont superbes . Nous remercions infiniment les petits(es) Doubistes.
Les élèves d'Etain et Claude Gambette,

12/21/2006 09:56:00 AM  

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